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Notre philosophie

Du sens à la relation...

POUR QUOI nous levons-nous le matin, faisons-nous des efforts, dépensons-nous de l’énergie, acceptons-nous des sacrifices, comme celui, pas si simple, de nous remettre en question, de repartir après un échec ?

Quel est le sens de nos actions, individuelles et collectives ? Avons-nous pris le temps de nous poser pour y réfléchir ?

Sans une réponse claire à cette question, nous vivons « la perte de sens », si fréquemment évoquée aujourd’hui dans le monde professionnel en général, dans le monde hospitalier en particulier.

Suis-je satisfait des relations que j’entretiens avec les autres, quotidiennement ? Ma relation avec mon chef, chacun de mes collègues, chacun de mes collaborateurs, voisins de service, clients, fournisseurs est-elle satisfaisante et épanouissante ?

Les relations sont une nourriture indispensable à notre équilibre. A tel point que, nous préférons parfois entretenir une relation de souffrance plutôt que de risquer de rompre le lien.

Les relations sont comme un jardin : Sans un entretien régulier, elles sont rapidement envahies de parasites, de distorsions, de biais et de détournements qui, comme les ronces dans le jardin, finissent par leur retirer toute beauté, saveur, richesse et naturellement, efficacité professionnelle.

Alors, sans SENS à nos actions et sans RELATIONS épanouissantes, comment est-il possible de relever les défis qui s’offrent à nous ? Comment accompagner demain les maladies chroniques, croissantes avec le vieillissement ? Comment faire face à l’augmentation des besoins de santé avec un nombre limité de professionnels ? Comment oser refonder les règles, les statuts, les cultures ? Comment oser imaginer des organisations de soins à la fois vivantes, fiables et efficientes ? Comment …

… C’est impossible !

Une responsabilité managériale fondamentale.

La construction du sens collectif et l’hygiène quotidienne de la relation deviennent aujourd’hui une responsabilité essentielle, pas seulement importante, mais essentielle des managers hospitaliers, qu’ils soient administratifs, médecins ou soignants.

Porter cette responsabilité demande un vrai courage : Elle est peu codifiée, pas vraiment enseignée, jamais décrite dans une belle fiche de fonction, généralement éloignée des débats techniques qui nous rassurent, peu naturelle au sein d’organisations hospitalières où la compétence académique trône en maîtresse exclusive de la légitimité.

Mais finalement, entre « oser » prendre ce risque et ne pas le prendre, quel est le plus grand des deux risques pour demain ?

Skill Move et votre serviteur vous proposent d’accompagner la construction de ce sens collectif et de développer la qualité cette « relation à l’autre » au sein de votre organisation.

Les 5 valeurs qui fondent notre méthode :

  • « J’ai le choix » : Tout ce qui nous arrive résulte de nos choix, conscients ou inconscients. Les autres ne sont donc pas responsables de mon malheur ou de mon bonheur.
  • « Ici et maintenant » : C’est dans l’instant présent que nous pouvons nous affranchir de notre passé et nous décharger du poids de l’avenir pour être pleinement conscient de nos choix.
  • « Responsabilité » : Assumer les conséquences de nos choix est un signe remarquable de courage.
  • « Potentiel caché » : Le meilleur de nous-même sommeille au fond de la plupart d’entre nous jusqu’à ce que nous soyons prêt à le réveiller.
  • « L’échec vertueux » : bien plus riche pour l’avenir que le succès, l’échec nous confronte à nous-même et nous réserve de merveilleux cadeaux. Alors pourquoi ne pas prendre le risque de le rencontrer ?

Déontologie :

Engagement de l’accompagnant dans sa pratique :

Devoirs de l’accompagnant :

  1. Etre formé et certifié.
  2. Garantir la confidentialité.
  3. Etre supervisé.
  4. Respecter les personnes (pas d’abus d’influence).
  5. Mettre en place une obligation de moyens.
  6. S’autoriser à refuser une prise en charge si le cadre déontologique n’est pas respecté.

Devoirs de l’accompagnant envers la personne accompagnée :

  1. Etre attentif au lieu de l’accompagnement,
  2. Laisser toute la responsabilité de ses décisions à la personne accompagnée.
  3. Distinguer la demande formulée par l’organisation et celle formulée par la personne accompagnée (validée avec lui).
  4. Respecter les étapes de développement de la personne accompagnée.

Devoir de l’accompagnant vis à vis de l’organisation :

  1. Etre attentif aux usages, contexte, culture, métiers, contraintes.
  2. Restituer au client, dans les limites définies avec la personne accompagnée.
  3. Rechercher l’équilibre entre les intérêts de la personne accompagnée et ceux de l’organisation.
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